Je marche fragile comme une jonquille, poussée au dos par un grand vent et toutes les pensées qui m’habillent me donnent un air de cerf-volant, je prends de sentiers peu faciles qui vont traîner sur les collines où de tas d’arbres peu graciles me tendent leurs bras et leurs racines, je voyage, je voyage. Julien Clerc (Extrait de paroles de je voyage)
* Suite Un petit ruisseau