Salut ; c'est le printemps ! C'est l'ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d'ivresse ? Ange de ma grand-mère, ange de mon berceau, ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, que ma lyre frissonne et que je bats de l'aile comme hirondelle ?
Arthur Rimbaud : Un cœur sous une soutane
* Suite le Printemps au Parc de Bécon
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire